Résumé : | Neverland, un titre évocateur : le pays perdu, le refuge de Peter Pan qui a refusé de devenir adulte. La langue est belle, précise, poétique. On se laisse happer par le rythme et la douceur, l'émerveillement des petites choses, les étés d'aventures, l'odeur de la maison des grands-parents, la résine de pin qui colle aux doigts. Timothée de Fombelle fait ressurgir ses souvenirs d'enfance et nous entraîne à sa suite vers la «deuxième étoile à droite, et tout droit jusqu'au matin». .. Joli ! 116 p. |