Résumé : | «La beauté» c'est Lisa, virtuose du piano dont le narrateur est follement amoureux. C'est aussi la musique qu'elle interprète et la Grèce dont elle est originaire. L'écriture de Ph. Sollers est légère et dense dans cette suite de «variations» où chemin faisant, il survole avec érudition la planète littéraire et musicale : le musicien Webern et le poète Pindare sont deux des artistes phares de cet ouvrage. Mais la plume de l'écrivain érudit et malicieux se fait aussi grave quand il évoque les «contre-beautés» de ce monde ; ainsi, «l'immédiateté vacuité» et «les pantins islamistes». 203 p. |